
Jouons à retrouver les gros dégueulasses de la BD contemporaine.

Le retour de la blonde aubergiste, des oiseaux moqueurs et de la méchante reine pour un ultime album de la série le Royaume.

Quel est ce mystérieux dessinateur ? Peut-être saurez-vous me le dire.

Exotisme, sexe, chaleur et mauvais esprit, un cocktail magnifique quand Conrad est derrière le bar.

La revue de BD argentine des années 1980 n’a pas à rougir par rapport aux homologues françaises de l’époque.

Les brèves de terrasse sont bien plus intellos que les brèves de comptoir.

Mon nouvel album consacré au célèbre romancier japonais Mishima, sur un scénario de Patrick Weber.

L’Art ne rend pas obligatoirement très sociable si on en croit Posy Simmonds

Si vous aimez le cul très littéraire et qui n’a pas froid aux yeux

Apocalypse naturellement silencieuse.

Il y a des bandes dessinées dont la forme l’emporte largement sur le fond. C’est le cas du travail de Charles Forbell.

Le huit, c’est le signe de l’infini, c’est pour ça les huit tomes.

Une revue riche en contenu par et pour les passionnés de BD.

Courir comme un daim, mordre comme un loup, pisser comme un chien.

Le nouvel album de Beuville avec des serpents, des pirates et des complots.

Deux cavaliers foutent le boxon au Japon et ça donne de l’excellente BD.

Je ne me rappelle plus pourquoi je voulais chroniquer cet album.

Ne tirez pas sur le Palmar, il supporte mal les balles.

Des cocotiers, des armes à feu et la révolution ? Ou plutôt une chronique adolescente sensible et exaltée.

Des images rares de Ted Benoit, pour les fans et les autres.

La barbe revient à la mode comme le roman autobiographique.