Il y a des bandes dessinées dont la forme l’emporte largement sur le fond. C’est le cas du travail de Charles Forbell.
Le huit, c’est le signe de l’infini, c’est pour ça les huit tomes.
Une revue riche en contenu par et pour les passionnés de BD.
Courir comme un daim, mordre comme un loup, pisser comme un chien.
Le nouvel album de Beuville avec des serpents, des pirates et des complots.
Deux cavaliers foutent le boxon au Japon et ça donne de l’excellente BD.
Je ne me rappelle plus pourquoi je voulais chroniquer cet album.
Ne tirez pas sur le Palmar, il supporte mal les balles.
Des cocotiers, des armes à feu et la révolution ? Ou plutôt une chronique adolescente sensible et exaltée.
Des images rares de Ted Benoit, pour les fans et les autres.
La barbe revient à la mode comme le roman autobiographique.
De belles images en direct de la planète Encore et de l’ouest de Paris.
Enquête pour un monde plus propre.
Dessiner des lézards lubriques, c’est toujours cool.
Jonas Fink vs le Soviet Suprême.
Vroum vroum onirique en couleurs directes.
Des aventures sidérantes dans Okapi avec des pirates sympathiques et des enfants débrouillards.
Et si les super-héros avaient de vrais pouvoirs de BD et qu’ils en profitaient pour faire du monde un endroit meilleur ?
Des barbus en robe à volants et des filles en jeans serrés, c’est le retour de la Gay Pride ou quoi ?
Du haut de cette tour, 2000 ans vous contemplent…
Tif, il a des cheveux ou c’est Tondu ?