Frank Reynolds, un illustrateur très britannique

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Comme beaucoup de ses collègues britan­niques de l’époque, son travail ne s’est pas expor­té. Il faut dire que le petit monde très anglais qu’il décrit n’aurait eu que peu de résonance hors Grande-Bretagne. Tronches très carac­té­ris­tiques, gags de la vie quoti­dienne, tout cela est trop exotique pour être univer­sel. Dommage, c’était un sacré dessinateur.

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6 commentaires

    • C’est plus diffi­cile de faire des légendes pour des dessins à la base avec de l’humour. Et tu n’as pas un de La Tour chez toi ? La honte.

  1. Je connais­sais La Tour que de nom,mais il y a une belle expo sur Paris actuel­le­ment. Je crois que ton ouvrage chez Glenat peut être comman­dé chez mon libraire ?

    • Oui, il y a une expo qui semble incon­tour­nable en ce moment. Ma BD est une histoire brodée autour du peu de choses que l’on sait de lui. C’est donc assez person­nel du coup :-)

  2. Aaaah,la ”redou­table redoublante”…
    Les yeux grands ouverts sur chacune de ces merveilles, The New-Yorker eut pu en accueillir.
    PUNCH, je crois abritait un parent de Conan Doyle…
    Gros faible pour les dessins au trait, finement
    travaillés dont les repro­duc­tions sont sans doute aussi plus heureuses.
    Merci, merci pour ”tout ça ” Li An…
    Je confirme cette conso­la­tion à la vie, un temps du moins…

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