Après Le chasseur au chien courant, Beuville illustre toujours dans la même collection Le chasseur au chien d’arrêt, toujours d’ Éléar Blaze. Il n’y a pas grand chose à dire de plus, on devine combien le chasseur Beuville a pu s’amuser à croquer ses confrères en zigouillage, tout en profitant de l’ombre des arbres et de l’ombre filante du lièvre.








Intense promenade…Et toujours le goût et le sens de l espace.
Chez Beuville, l’Homme est toujours une pointe de couleur dans la Nature. Ce qui ne l’empêche pas d’être très actif.