Quelques couvertures de Lucien Fontanarosa pour le Livre de Poche

fontanarosa livre de poche couvertures 37

Lucien Fonta­na­ro­sa (1912 — 1975) est un peintre français né de parents italiens immigrés. C’est un peintre recon­nu de son temps au point d’illustrer les billets en francs français que les plus vieux connaissent bien (notam­ment le fameux Delacroix).

J’ai déjà parlé de lui pour ses couver­tures pour le Livre de Poche et j’ai eu envie d’en montrer plus. Il réussit à faire ressor­tir une tension narra­tive dans ses couver­tures sans que ce soit trop descrip­tif et ses couleurs sont toujours très intéres­santes. Malheu­reu­se­ment, il semble­rait que les collec­tion­neurs n’aient pas eu le courage ou l’envie de scanner correc­te­ment toutes ces couver­tures pour les parta­ger et on doit souvent se conten­ter de trucs approxi­ma­tifs tirés des sites de vente en ligne.

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9 commentaires

  1. C’est dingue, quand on y pense ; ils avaient combien de mains, les humains, à l’époque ?

    Blague à part, j’aime beaucoup ces livres de poche, j’en ai quelques-uns (mais j’ai pas de scanner).

    • Ils avaient surtout le bon nombre de doigts.
      Mes articles sur le Livre de Poche sont parmi ceux les plus visités. Et je sais que beaucoup les collec­tionnent. D’où une petit frustra­tion sur les couver­tures. Il faudrait peut-être que je fasse ma propre collec­tion, en ne gardant que les couver­tures une fois le livre lu pour garder de la place dans ma bibliothèque.

  2. Bonjour et merci pour le lien que vous mention­nez vers ma galerie sur Pinte­rest, qui est plutôt pour moi un outil de stockage en atten­dant de pouvoir présen­ter mieux ces superbes couver­tures du LdP sur ma page Facebook (https://​www​.facebook​.com/​d​o​p​o​ggi), dans un album plus spécia­le­ment consa­cré aux exemplaires que j’ai pu scanner et identi­fier, en privi­lé­giant les illus­tra­tions qui s’étendent jusqu’à la quatrième de couver­ture. Beaucoup des exemplaires que je possède, acquis dans les brocantes et vide-greniers sont en plus ou moins bon état et le nettoyage de leurs images demande un peu de temps avant de les parta­ger ici : https://​www​.facebook​.com/​m​e​d​i​a​/​s​e​t​/​?​v​a​n​i​t​y​=​d​o​p​o​g​g​i​&​s​e​t​=​a​.​3​0​7​5​3​2​6​3​0​6​0​5​8​639

  3. Tel monsieur Jourdain…j’avais du Fonta­na­ro­sa sans le savoir…ce n’était pas mon préfé­ré mais,finalement…
    Le Dorgeles collec­tion pourpre est encore plus beau.
    J’ai déjà dû poser la question mais,
    Il y avait t’il des direc­tives de style ?..
    Le trait épais était fort répandu,c’est vrai.
    J’aime son traite­ment vif des visages, il y a au,cœur de cette simpli­ci­té une énergie et une effica­ci­té extraordinaire.
    J’ai fini pat lire du Cesbron, j’ai là aussi, fini par y prendre goût.
    Un grand merci,aussi,à Dominique Poggi;est-il l’auteur de ce merveilleux bouquin consa­cré aux illus­tra­teurs du livre de poche?!

    • Les livres sur le LdP dont de Jean-Pierre Garcin. C’est vrai qu’il y a une sorte d’innocence dans les person­nages de Fonta­na­ro­sa. Je ne pense pas qu’il y avait des direc­tives parti­cu­lières lorsque l’on voit la diver­si­té des styles graphiques. Par contre, peut-être un effet de ”mode” – Forrest pratique aussi un trait très épais. J’ai des souve­nirs de peintres de l’époque qui posent des contours très épais.

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