Une histoire typiquement Arzackienne avec un personnage qui se balade dans un monde improbable. Roue libre et pas de fin, évidemment.
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Remarquables Quatre-pages;Moebius d’accord,mais même un Sergio Toppi s’inviterai dans cette veine là.
C’est la sérénité du personnage qui influe l’impassibilité de ton découpage,délicat.
Ah oui, c’est vrai que Toppi aussi aime bien les personnages qui errent dans des mondes oniriques. Je n’avais pas vu ce rapport avec Moebius.