Henry Raleigh (11)

Cela fait longtemps que je n’avais pas posté d’images d’un de mes illus­tra­teurs US préfé­rés, à savoir Henry Raleigh. Et puis je suis tombé sur un petit gisement russe avec des images bien scannées (prove­nant j’ima­gine d’un site de vente d’art qui néces­site un abonne­ment). Je vous en mets trois mais vous pouvez les retrou­vez toutes sur la galerie dédiée.

vous avez des puces, ici ?

une brune vaut deux blondes

quand je serai grande, je me vengerai

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11 commentaires

  1. Ces trois dessins expriment au mieux une idée de ”perfection”:Vie,celle du trait et du sujet.Ce je ne sais quoi (Elégance,raffinement?C’est restrictif)qui enthou­siasme le fils de Crao que je ne suis pas.(MERCI LI AN.)

  2. Oui, on peut imagi­ner que ça aurait été un peu son genre. Mais je ne pense pas qu’il aurait appré­cié nos années 2000.

  3. Ah oui, c’est beau, charmant, vivant ! (j’aurais bien aimé faire un commen­taire plus élabo­ré, par exemple se poser la question de l’image seule et son poten­tiel narra­tif, en rapport avec la défini­tion de la bande dessi­née comme séquence d’au moins deux images, mais ça serait un peu lourd, non ? en tout cas, le charme de ces images tient aussi aux scènes très vivantes qu’elle racontent ).

  4. Et qu’au­rait dit Menu ? (je blague)
    Ce que j’aime chez Raleigh c’est la vivaci­té de son trait qui est très éloigné de l’idée que l’on se fait de l’illus­tra­tion US ”classique”. Il y a une recherche de vibra­tion plus que de descrip­tion qui est tout à fait ”BD d’aujourd’hui”.

  5. Je reste toujours un peu sur ma faim à ce sujet;toujours avide de connaitre le ”contexte”:Comment Raleigh a abordé son art,avec ou contre quoi,était-il un marginal,ou un origi­nal sollicité;visionnaire,homme libre et indépendant,en dehors des clous,héritier de qui de quoi,de où.Et à quelle heure ?

  6. Je complè­te­rai avec les infos que je possède (glanées dans le bouquin de Walt Reed sur les illus­tra­teurs US).

  7. Très élégant, avec beaucoup de style dans les poses féminines… Je ne le connais­sais pas. Vu les scènes présen­tées, un contem­po­rain de Joseph Clément Coll, en plus fluide, plus léger.J’irai voir les ”liens” avec intérêt.

    • Je suis bien content que ce billet déclenche des réactions :-) Merci pour ce premier commen­taire, Thierry.

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