Candide illustré par Gus Bofa

Je ne suis pas connais­seur mais il apparaît que les fans obsédés de Bofa recherchent compul­si­ve­ment trois livres qu’il a illus­trés et tirés à très peu d’exem­plaires : le Candide de Voltaire, les Fables de La Fontaine et L’assassinat consi­dé­ré comme un des beaux arts de Thomas de Quincey. Sur 65 eaux fortes réali­sées pour le Candide, Ma galerie à Paris en propose 14 repro­duc­tions à admirer (et à acheter). C’est beau. C’est très beau. C’est décidé, je fais du Bofa.

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15 commentaires

  1. La premiere image me fait penser à du Avril
    simpli­fi­ca­tion du trait mise en couleur en aplat leger,
    Bien que Bofa soit plus souple.

  2. Dans la simpli­fi­ca­tion du corps en triangle, on retrouve du Avril en effet. Mais je trouve que le dessin de Bofa est plus dense, moins aérien.

  3. Je suis d’accord, Avril fait un dessin un peu ”archi­tec­tu­ral”,
    très graphique, réflé­chi, maitri­sé, alors que chez Bofa il y a de la souplesse, de l’instint,de la spontanéité…

  4. Très beau choix d’illus­tra­tions, ça montre l’éten­due du registre de Bofa : une image, on est dans un cartoon, la suivante, une atmosphère glauque à la David Lynch…

  5. ha, d’accord…

    A propos de Bofa, j’ai son U‑713 de chez Cornelius.
    Dans ce livre, il est dit que Bofa à l’époque ne connais­sait pas la gomme.

    Du coup ses origi­naux sont couverts de gouache blanche avec laquelle il recou­vrait les mauvais traits ou amincis­sait ceux qu’il voulait garder.
    Le livre propose deux versions des dessins (au trait et clichés des origi­naux). On peut comparer

  6. J’ai vu des petits origi­naux (issus de Libido), dans une galerie parisienne et je ne me rappelle plus de la gouache. Je viens de regar­der La croisière incer­taine et on voit des traits presque effacés sur certains dessins. Il travaillait sur papier prévu pour l’huile et ça devait partir en frottant.

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