Vaughn Bodé et Pilote

des cheveux

jawol

petit scarabé

erotisme metallique

le Nâm

Merci à Boying­ton pour ces photos tirées d’un Pilote Mensuel n°15 année 1975.

Partagez ce contenu

Ne ratez plus rien en vous abonnant

Soyez prévenu par mail des nouvelles publications et suivez mon actualité avec la newsletter

!ABC Pour signaler une erreur ou une faute de français, veuillez sélectionner le texte en question et cliquer sur l’icône R en bas à gauche.

fille boutique fond
fille boutique seule300b

Visit my shop

Illustrations, livres, ex-libris, planches en vente sur ma boutique.

12 commentaires

  1. L’année de publi­ca­tion c’est 1975. 

    J’ai rencon­tré le nom de Bodé dans les entre­tiens de Sadoul avec Franquin. Ce dernier en disait le plus grand bien. Il avait notam­ment gardé le souve­nir ému d’une presta­tion à Angou­lême où Bodé. Je n’ai mis une image sur son nom que plus tard, durant mes années de lycée quand je décou­vris dans une petite boutique un recueil intitu­lé Cheech Wizard, une couver­ture vert pomme, avec un type en collants rouges avec un bonnet de Schtroumpf qui lui descen­dait jusqu’à la ceinture. De Bodé j’ai immédia­te­ment appré­cié la grâce de son trait tout en rondeur, la sympa­thie qui se dégage de ses person­nages, tout comme l’aspect systé­ma­tique de sa mise en page. Je me souviens que ce qui me frappait le plus, c’est que les phylac­tères étaient rejetés au dessus des cases (je n’avais que 16 ans) ! Un jour j’ai passé le bouquin à un copain qui me l’a rapide­ment rendu, en me disant que c’était nul. J’en ai été passa­ble­ment blessé et n’ai d’ailleurs plus jamais adres­sé la parole à cet indivi­du. D’un autre côté, il est tout à fait compré­hen­sible qu’un magicien qui donne des coups pieds dans les couilles à des lézards libidi­neux bavant devant des nymphettes grassouillettes puisse laisser perplexe.

  2. Ah ah, il manque un bout de phrase (c : je voulais ajouter « …une presta­tion à Angou­lême où Bodé donna une version commen­tée de ses dessins avec bruitages lors d’une projec­tion diapo et qui a fait un flop » mais cela a sûrement déjà été dit.

  3. Merci pour les préci­sions :-) Moi, je ne sais plus trop quand est-ce que j’ai vu pour la première fois ses dessins. Tu as bien fait de rompre avec cet ignare :-) 
    Mais il y a quand même des planches de Bodé hyper bavardes et pas super passionnantes. 

  4. Il me semble avoir vu ses planches dans Actuel vers 1972.
    Perso je trouve ses nymphettes plutôt girondes, à bas la dicta­ture de la maigreur ! 

  5. Bodé contre l’ano­rexie… Une réédi­tion massive comme théra­pie collec­tive. Mais bon, ces pauvres filles ne semblent pas avoir la vision juste de leur corps, alors les BD… Bizarre cette maladie.( Y’a pas moyen de glisser quelques beautés féminines dans ”Boule de Suif”?) 

  6. J’ai honte : je connais pas du tout l’his­toire. Si je l’ai lue, ça doit remon­ter quelques décen­nies. Donc, bonne raison pour moi d’ache­ter ta BD quand elle sortira. 

  7. Où l’on reparle de BODE !
    Bonne nouvelle, pour le cinquan­tième anniver­saire de la création de son Cheech Wizard (les pompes Puma en ont fait une édition spéciale : voir http://​www​.jungle​-life​.com/​b​l​og/... Mais dur-dur quand même d’appré­cier voir simple­ment de connaître en France un bizar­roïde pareil mort en 75). Imagi­nez que Crumb soit mort en 75, aurait-il encore un tel succès aujourd’­hui ? Pour Vaughn Bode, là où ça se corse, c’est qu’il était VRAIMENT à part. Je l’ai égale­ment décou­vert lorsque j’avais 16 ans, c’était à la fin des 70’s. Je raconte tout cela mais aussi oh combien (le pourquoi et le comment) Bode est VRAIMENT génial dans un article de la revue Le Coup de Grâce (catalogue de l’expo Articu­la­tions) édité par la 5e Couche à Bruxelles en 2006. Si vous ne trouvez pas, je toujours envoyer l’article à celles et ceux que cela intéresse. So long. Pol. polopop66”at”yahoo.fr

  8. Je ne pense pas que Crumb ait réelle­ment du ”succès”. Il est recon­nu comme un grand artiste et à l’oppor­tu­ni­té de faire des choses intéres­santes mais je ne pense pas que ça se vende des masses.
    Une paire de chaus­sure ne risque pas de donner aux gens l’envie de regar­der ses planches… 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise des cookies pour vous offrir la meilleure expérience possible.