On raconte, illustré par Beuville

beuville-raconte-16

Le 13 juin 1941, l’hebdomadaire Tout et tout décerne son Prix Mérimée à trois nouvelles. Le jury est compo­sé (excusez-moi du peu) de Pierre Mac Orlan, André Thérive, Marcel Aymé, Albert t’Sers­te­vens, Pierre Véry et Jean-Michel Pagès.
Les textes primés et cinq autres retenus sont publiés la même année dans un recueil illus­tré par Beuville : On raconte… (très mauvais titre ma foi). Pour chaque nouvelle, Beuville dessine une image en ouver­ture, une grande illus­tra­tion et un dessin en clôture. Du fait de la varié­té des histoires, on peut décou­vrir ici des person­nages et des ambiances qui sortent de son travail ordinaire.

J’ai essayé de lire les textes mais ça m’est tombé des mains.

Les possédés d’Aragon (Marie-Madeleine Chantal – Premier Prix)

beuville-raconte-15

beuville-raconte-14

beuville-raconte-13

Abraham Bourrée (Claude Quinard – Deuxième Prix)

beuville-raconte-12

beuville-raconte-11

beuville-raconte-10

Biniou Fantoche (Jacques Viau – Troisième Prix)

beuville-raconte-09

beuville-raconte-08

beuville-raconte-07

Le trésor de Motu-Iti (Michel Candie)

beuville-raconte-06

beuville-raconte-05

beuville-raconte-04

Moins bête qu’un sorcier (Pierre Hérault)

beuville-raconte-03

beuville-raconte-02

beuville-raconte-01

Les noces de Maritza (R. – J. Lefèvre)

beuville-raconte

beuville-raconte-24

beuville-raconte-23

Le dernier sorcier (Gaston Modot)

beuville-raconte-22

beuville-raconte-21

beuville-raconte-20

Mandine (Georges Nigremont)

beuville-raconte-19

beuville-raconte-18

beuville-raconte-17

Partagez ce contenu

Ne ratez plus rien en vous abonnant

Soyez prévenu par mail des nouvelles publications et suivez mon actualité avec la newsletter

!ABC Pour signaler une erreur ou une faute de français, veuillez sélectionner le texte en question et cliquer sur l’icône R en bas à gauche.

fille boutique fond
fille boutique seule300b

Visit my shop

Illustrations, livres, ex-libris, planches en vente sur ma boutique.

3 commentaires

  1. Joli cadeau!Quelques morceaux brillants,on en trouve toujours,dans ce travail de Beuville.Ses dernières années demeurent au dessus de ce recueil gris…

  2. Les méthodes d’impres­sion, la quali­té du papier de l’époque, imposaient des contraintes dont il a pu s’affran­chir par la suite. Mais la maîtrise est déjà là (et aussi la fantai­sie, bien qu’il ait dû la brider un peu : après tous ces sages paysages de commande, il s’est bien défou­lé avec son presti­di­gi­ta­teur sardonique!).

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise des cookies pour vous offrir la meilleure expérience possible.