Jean-Michel Nicollet

poster pour les Nouvelles Editions Oswald (1981).

Partagez ce contenu

Ne ratez plus rien en vous abonnant

Soyez prévenu par mail des nouvelles publications et suivez mon actualité avec la newsletter

!ABC Pour signaler une erreur ou une faute de français, veuillez sélectionner le texte en question et cliquer sur l’icône R en bas à gauche.

fille boutique fond
fille boutique seule300b

Visit my shop

Illustrations, livres, ex-libris, planches en vente sur ma boutique.

23 commentaires

  1. Il m’est arrivé d’ache­ter des bouquins unique­ment sur la couv de Nicollet ! 
    Superbe graphisme – sexo intri­guant dans son genre – rappel de la grande épode des humanoïdes. 

  2. Pareil que Doc Mars… En plus, à l’époque où j’étais, (en Guyane) ils vendaient les bouquins NéO pour 5 francs… Un mien camarade en a d’ailleurs depuis une belle collec­tion (princi­pa­le­ment les R.E. Howard, dont les couver­tures sont pour certains assez bien, mais pas toutes).
    Ma couver­ture préfé­rée reste celle de Nocturne Sur Fond d’Epées, de Daniel Walther.

  3. Ça le fait penser qu’il faudrait qu’il y a longtemps que je n’ai pas mis d’image de Nicol­let sur ce blog…

  4. Salut à vous adora­teur de Nicollet
    je voulais juste vous dire, qu’en plus d’être un genie de l’illus­tra­tion, c’est égale­ment un monsieur passion­nant, et pour cause je l’ai eu comme prof de dessin au CFDAA.
    Jean Michel, si vous lisez ces lignes, je vous admire
    Jean Marc 

  5. Ah ben alors si c’est en plus c’est un chic type :-) Au fait, quelqu’un a lu son BD Jazz. J’aime­rai avoir un avis avant un éventuel achat… 

  6. C’est un HENAURME dessi­na­teur, illustrateur…n’oublions pas qu’il a un super coup de patte et ce n’est pas un hasard. Il dessine. On ne peut parler de Nicol­let sans parler de Kelek. Un coup de chapeau à cette (feue) fée que l’on re-décou­vri­ra bientôt ! 

  7. C’est vrai qu’il ne faut pas oublier Kelek mais je pense que ça va être coton de la sortir de l’oubli où on l’a plongé- son travail est moins évident que celui de Nicollet. 

  8. Quand j’étais jeune j’ai eu l’énorme plaisir de passer quelques heures avec lui.
    J’étais étudiant aux beaux-Arts en province, et sur un simple coup de fil il avait accep­té de me recevoir.
    Son appar­te­ment était digne de ses images : un mélange de cabinet de curio­si­tés, de bureau de Sherlock Holmes et de salon d’esthète fin de siècle.
    L’ambiance avait de quoi impres­sion­ner, mais Nicol­let dans ce décor tenait plus d’un bon person­nage de Jules Verne que d’un savant fou.
    Je ne sais plus trop de quoi nous avons parlé (j’exa­gère à peine car il me désal­té­rait au whisky), mais ce dont je me souviens bien c’est de son atelier et de l’incroyable diver­si­té du conte­nu de ses cartons à dessin.
    Ça allait d’illus­tra­tions de presse à des travaux quasi publi­ci­taires de ses débuts jusqu’à ses couvs de Néo en cours.
    Un panel impres­sion­nant et d’une quali­té finale­ment assez mal rendue par les reproductions.
    Bref, je ne vais pas m’étendre, il a été très aimable mais comme j’étais un jeune con (qui a dit : et aujourd’­hui un vieux ?…hum… bon… ), donc comme j’étais incon­sé­quent et frivole, je n’ai même pas eu la politesse de le remer­cier plus tard, d’une manière ou d’une autre, pour la généro­si­té de son accueil.
    Donc, vous avez compris que si je vous raconte tout ça, c’est un peu pour réparer la faute.
    Et aussi pour dire qu’on se fait souvent une montagne (de trouille) des artistes que l’on admire mais que bien souvent ils sont très abordables.
    Hélas, je n’avais pas vu Kelek, dont j’aimais aussi le travail plus confi­den­tiel, d’ailleurs je ne me rappelle plus si à l’époque je savais même qu’elle était sa compagne.

  9. Moi, je l’ai croisé au 1er festi­val BD d’Eper­nay où je m’étais invité et on était rentré en train ensemble avec Marge­rin et d’autres et ils avaient parlé Métal Hurlant. C’était épatant. Je serai très curieux de voir des origi­naux de ses peintures… 

  10. Mince alors, vous vous invitez comme ça chez des artistes comme Nicol­let, Chaland …
    Faut être sacré­ment gonflé ! 
    Je n’ose­rais jamais : mon éduca­tion judéo-chrétienne de merde me l’interdit ! 
    Non, dans mon cas, ce qu’il faudrait, c’est un dessi­na­teur qui fait des ”visites à domicile” , mais bon, déjà pour les docteurs ça devient compli­qué, alors …
    ;-)

  11. Moi je me suis invité chez Totoche. Il a été courtois et atten­tif, il a su me distraire et m’emmener au resto. J’en suis ravi et je vous le recommande. 

  12. Totoche, où ai-je dit que je m”étais invité chez Chaland ? Hélas non, mais bien que l’admi­rant beaucoup je n’ ai jamais souhai­té le rencon­trer non plus.

  13. Nulle part, Vasco ! :-)
    Ton commen­taires venait par hasard après que j’ai lu 2 autres témoi­gnages (sur Grande Hôtel Luanda et sur Klare lijn inter­na­tio­nal je crois) de personnes (dont un du Margouillat si mes souve­nirs sont bons) qui racon­taient avoir été sonnéà la porte d’Yves Chaland … 
    Ce courage me laissait rêveur !
    J’en profite donc pour préci­ser que mon commen­taire ne se voulait nulle­ment négatif, moqueur ni agressif ! 
    Juste un poil jaloux.
    ;-)))))
    (

  14. Pierre : rigolo cette référence à Judith et Olopherne puisque c’est exacte­ment ce que je suis en train de dessiner ! 

  15. Li-An : l’idée m’est venue parce que je suis plongé dans la lecture d’un bouquin sur Artemi­sia Genti­les­chi, femme peintre du XVIIe siècle qui a donné une inter­pré­ta­tion saisis­sante de cet épisode : http://​www​.humani​ties​web​.org/​gal...

    Donc, tu t’es recon­ver­ti dans l’illus­tra­tion de la Bible. Peut-on en savoir plus ? (c :

  16. Dans Boule de Suif, il y a une référence à cette belle histoire et je me suis empres­sé de la caser dans la BD :-) 

  17. Li-an : Comme ton fiston j’ai étudié Boule de Suif à l”école mais je n’ai conser­vé aucun souve­nir de cette référence. Par contre je me rappelle parfai­te­ment dans Bel-Ami, du même auteur, une référence au Christ marchant sur les flots par le biais d’un tableau pompier attri­bué à un certain Karl Marko­witch. La toile est acquise par un richis­sime banquier ou editeur et je crois son épouse est prise à la vue du tableau la nuit d’une sorte d’extase mystique (un syndrome de Stendhal ?).

    Quant à la toile d’Arte­mi­sa elle trouve un écho parti­cu­lier quand on sait que l’artiste a été violée à l’âge de vingt ans par un certain Agosti­no Tassi, qui pour se crime fut condam­né au bannis­se­ment de Rome. Dans sa peinture elle s’est donnée les trait de Judith et Holopherne aurait ceux de Tassi. A quelle occasion la scène apparaît-elle dans Boule de Suif.

  18. En fait, les voyageurs tentent de convaincre Boule de Suif de céder à l’offi­cier prussien et abordent innocem­ment le thème du don de la personne pour un intérêt général et évoquent diverses person­nages histo­riques féminins dont Judith. 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise des cookies pour vous offrir la meilleure expérience possible.