Henry Fournier

les encombrements à la campagne

Impos­sible de trouver des infor­ma­tions sur cet illus­tra­teur français des années 20/​30 qui aurait pu signer ”Blotch” si j’en crois les quelques œuvres qui traînent par ci par là sur le Net.

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7 commentaires

  1. En cherchant sur Inter­net, je n’ai trouvé que des gags ”amusants” dignes du Roi de Paris. En tous les cas, rien de ce niveau graphique. 

    • Bonjour,

      Je recherche des rensei­gne­ments généa­lo­giques sur un peintre appelé Henri ou Henry Fournier ; lieu de naissance, mariage et plus si possible. C’est peut-être celui dont vous parlez et malgré l’ancien­ne­té de votre article j’ose espérer une réponse. Par avance, merci

      Bien cordia­le­ment

      Dominique Beret­ti

  2. Pour qui s’inté­resse un peu aux années 30 et à l’art qui les carac­té­ris­tique, un détour s’impose au musée de Boulogne-Billan­court qui leur est consa­cré. Et pour ceux qui trouvent un intérêt parti­cu­lier aux arts graphiques, il y a là un cabinet de dessins tout à fait intéres­sant. Deux noms retiennent l’atten­tion, ceux pourtant obscurs de Georges Lepage et d’Eli­sa­beth Branly (oui, comme le quai où nous habitions des gîtes infâmes). Ces deux illus­tra­teurs donnèrent des dessins à Vogue, des aquarelles gracieuses où des femmes aux silhouettes élancées se propulsent au volant de Panhar-Levas­sor ou de Delahaie racées, au nez et la barbe de vieux messieurs ridicules. D’autres dessins, d’un intérêt moindre, sont dispo­sés horizon­ta­le­ment dans des tiroirs qu’on peut ouvrir au petit bonheur. De quoi occuper l’après-midi d’un dimanche pluvieux ! 

  3. Et bien, ce n’est pas tombé dans l’oeil d’un sourd, Pierre. J’essaie­rai ce musée si j’en ai l’occasion. 

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